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SSRQ FR I/2/8 116.3-1

Sammlung Schweizerischer Rechtsquellen, IX. Abteilung: Die Rechtsquellen des Kantons Freiburg, Erster Teil: Stadtrechte, Zweite Reihe: Das Recht der Stadt Freiburg, Band 8: Freiburger Hexenprozesse 15.–18. Jahrhundert, von Rita Binz-Wohlhauser und Lionel Dorthe

Zitation: SSRQ FR I/2/8 116.3-1

Lizenz: CC BY-NC-SA

Claudine Grandgirard – Verhör

1644 September 6.

  • Signatur: StAFR, Thurnrodel 14, S. 104–105
  • Originaldatierung: 1644 September 6
  • Beschreibstoff: Papier
  • Sprachen: Französisch, Deutsch

Editionstext

KellerOrt: , 6 septembseptembrisSprachwechsel: Latein 1644Originaldatierung: 6.9.1644, hAbkürzung großgroßweibel1
HAbkürzung ProginPerson: , hAbkürzung GadiPerson:

TechtermanPerson:

PythonPerson: , PythonPerson:

De GrangesPerson: , ReiffPerson:

WWeibel

Claudine GrandgerardtPerson: croit que la raison de son emprisonnement est que des possedeesBegriff: l’ont bastue, mais
icelles avoir esté induictes des gens de mrmonsieur le lieutenant, lesquelles luy font grand tort, et il ne se
trouvera jamais aultre chose contre elle, si non
qu’elle est femme de bien, dont prie Dieu qu’il
mette la verité au jour, lequel elle prend en aide,
qui sçait bien si elle l’a reniéBegriff:  ; que ainsy qu’elle
est femme de bien, ilKorrektur auf Zeilenhöhe, ersetzt: qu’a la maintienne qu’elle
n’a faict aulcun acte de reprehension ; et si bien
les possedeesBegriff: l’ont appellé sorciereBegriff: , qu’elleAuffällige Schreibung ne
font pas a croire, qu’elles luy font tort, que personne
aultre l’a ainsi appellée qu’elle puisse sçavoir ; qu’elle
n’a jamais donné pain a aulcune personne, qu’elle
en soit venue malade ; qu’on ne l’a aussi jamais trouvee
devant jour par les chemins, si ce n’est une fois qu’elle
allait a l’Eglise de BelfozOrt: pour prier, dont rencontra par les chemins des mussilliersBegriff: devant jour.

[S. 105]SeitenumbruchEt pource qu’on a dit qu’on avait tenu la secteBegriff:
en sa maison, dict estre passé comme s’ensuyt. Assavoir
lors que son mary s’enrolla pour s’en aller a la
guerre, elle luy dict qu’il luy avoit mangé le sien
et qu’il ne luy avait point faict d’assignation ;
surquoy son mary l’a voullu battre tellement,
que pour ce combat et a raison qu’elle pleurait
en la maison de nuict, on dict qu’on a tenu la
secteBegriff: en sa maison, qu’on y faict grand tort,
comme aussy avec ce qu’on a dict des fleurs,
car elle n’avoir parlé aultrement, si non qu’elle
recueillit des fleurs sus la rueUnsichere Lesungb, qu’on y prennait
les ennemysBegriff: .

Anmerkungen

  1. Korrektur auf Zeilenhöhe, ersetzt: qu’.
  2. Unsichere Lesung.
  1. Gemeint ist Hans Jakob MändlyPerson: .